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Une assurance sans risque ? Vérifiez les risques !

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De nombreux jeunes acheteurs de maison ne souscrivent pas d’assurance-vie. Est-ce sage ?

Les hommes/femmes vivent de plus en plus longtemps. Les jeunes primo-accédants, en particulier, ne pensent pas vraiment à l’éventualité d’un décès. La couverture décès est particulièrement importante pour ce groupe (qui va vivre ensemble pour la première fois). Même si la probabilité qu’une personne meure à un jeune âge est très faible, elle existe. Et si cela se produit, les conséquences peuvent être considérables.

Analyse des conséquences

Tout conseiller hypothécaire doit analyser la situation en cas de décès inattendu lors de la souscription d’un prêt hypothécaire. Il peut arriver qu’aucune couverture décès ne soit souscrite et que la maison doive être vendue de force si l’un des partenaires décède inopinément. Voir l’exemple ci-dessous :

  • Revenu de l’homme : 25 000 euros
  • Revenu de l’épouse : 25 000 euros
  • Hypothèque à annuités : 230 000 euros
  • Charge mensuelle brute : 799 euros (taux d’intérêt hypothécaire de 1,55%)

Ces deux jeunes gens (25 ans) qui vivent ensemble achètent une maison et contractent un prêt hypothécaire à annuités pour 230 000 euros. Aucune assurance risque séparée n’est souscrite. Ils cohabitent, ce qui signifie que la pension de la personne à charge survivante n’est pas active. Cela peut être organisé chez le notaire au moyen d’un contrat de cohabitation. Si rien n’a été prévu, une situation désagréable peut survenir en cas de décès inattendu.

Ne peut pas se permettre de payer les frais d’hypothèque

La personne restante, dont le salaire annuel brut est de 25 000 euros, doit alors payer l’hypothèque actuelle. Avec un seul revenu, les coûts mensuels sont extrêmement élevés. L’hypothèque maximale sur ce revenu n’est que de 115 000 euros. Une vente forcée est maintenant probable si les parents de la personne restante ne peuvent pas aider / assister (financièrement). En outre, les parents de la personne décédée entrent également en jeu. Ils deviendront les héritiers de la moitié des biens.

Il est clair qu’il est très sage d’organiser les choses de manière notariale, même si le risque de décès est très faible. Avec un contrat de cohabitation, il est souvent possible pour les cohabitants d’inscrire leur partenaire à une pension de survivant. Vous devrez en informer l’employeur, qui signalera alors l’assureur pension.

Jeunes, primes faibles

Enfin, on tient à mentionner qu’une assurance risque séparée pour ces deux jeunes de 25 ans ne coûte pas cher. Pour quelques euros par mois, la couverture est déjà amplement suffisante. Ceux qui ne veulent prendre aucun risque assureront la totalité du montant de 230 000 euros. La prime mensuelle est alors d’environ 7 euros.